Au boncoin, le bien-être au travail est une priorité quotidienne ainsi qu’une évidence tant il offre du sens, stimule la volonté d’apprendre et de s’améliorer, et valorise la reconnaissance de chaque contribution. Nous menons en continu une réflexion sur la qualité de vie au travail, afin d’adapter les dispositions aux évolutions du groupe. Et puisque ce sont les collaborateurs qui en parlent le mieux, Laurence, Armelle et Jean-Baptiste prennent la parole.
Arriver dans un nouveau groupe n’est pas une mince affaire. C’est la raison pour laquelle, au boncoin, nous mettons un point d’honneur à faire de ce moment un pilier de notre stratégie. Ainsi, lors de l’intégration d’un nouveau collaborateur, nous mettons en œuvre un dispositif d’accueil et d’accompagnement complet. Avec la crise sanitaire, le parcours d’intégration a été adapté, mais les bases ne vacillent pas. Pour Laurence, commerciale Grands Comptes, arrivée la veille du premier confinement, les inquiétudes liées à l’intégration se sont rapidement dissipées : « Dès la signature de mon contrat, j’ai été équipée d’un ordinateur et d’un téléphone. J’ai été invitée à des cafés pour rencontrer les équipes et suivi des formations en visioconférence. J’ai beaucoup apprécié l’accompagnement et je suis devenue tout de suite très corporate ! » Afin de vérifier l’adéquation de notre parcours d’intégration avec les attentes des nouveaux arrivants, nous leur envoyons systématiquement un questionnaire de satisfaction.
Une fois intégrés, les collaborateurs peuvent expérimenter la flexibilité du groupe, particulièrement sensible durant la crise, comme le souligne Armelle, gestionnaire contentieux : « On nous a fait confiance et actuellement le choix nous est laissé de revenir travailler sur site ou de rester en télétravail. » Pour Jean-Baptiste, développeur back-end, la flexibilité s’apparente aussi à une forme de liberté « qui, ajoutée à la confiance accordée, donne envie de s’investir ».
Des attentes communes
Avant même de postuler pour nous rejoindre, ces trois collaborateurs avaient à la fois quelques craintes liées à la taille du groupe et de grandes espérances sur la qualité de vie au travail. Ainsi, Jean-Baptiste a-t-il constaté que les process étaient beaucoup moins lourds que dans d’autres groupes de taille similaire. Laurence, cooptée par un commercial, s’est trouvée confortée dans ses aprioris positifs : « leboncoin est un groupe où nous travaillons tout en restant simples. Il y fait bon vivre et travailler. C’est tout bête, mais lorsque je suis arrivée, j’étais surprise par l’accueil, tout le monde me demandait sans cesse si tout allait bien. C’était très agréable! » De son côté, Armelle applaudit la façon dont sont traitées les questions de l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle ou encore celles liées à l’écologie avec, par exemple, l’intervention d’entreprises de recyclage et le zéro plastique. Elle a décidé de faire partie de la Mission Handicap, intéressée par « toutes les actions menées pour intégrer les personnes en situation de handicap ».
Des initiatives plébiscitées
C’est avec gratitude que les collaborateurs saluent l’accompagnement et les différentes attentions. Laurence souligne les formations proposées dès son arrivée par le service RH et les membres de son équipe, sous forme de vidéos ou par visioconférence, comme le « Parcours d’intégration à distance », et « La pause-café des nouveaux ». Elle évoque également les groupes mis en place, pour échanger avec les autres équipes et unifier le niveau d’information : sur la plateforme Slack, par exemple, ou encore sur l’intranet thegoodcorner avec la chaîne « La communauté Immo ». « Ce qui fait la qualité, ce sont les échanges, les cafés partagés, les points avec le manager. Nous ne sommes pas livrés à nous-mêmes ». Les cours de sport sur le rooftop séduisent particulièrement Jean-Baptiste, de même que le potager auquel il aimerait contribuer, ou encore les séminaires proposés. « J’aime beaucoup Le Croissant particulier, un moment privilégié pour discuter librement avec un membre du comité exécutif ».
Pendant les confinements, nous avons particulièrement veillé à renforcer notre politique de qualité de vie au travail. L’accompagnement des RH a d’ailleurs fait l’unanimité auprès des collaborateurs qui ont, en outre, adhéré en masse au programme « Confinés mais pas isolés », afin de partager des séances de sport, de méditation, des cours de cuisine, de yoga… Et ce, pour le plus grand plaisir d’Armelle : « Tout le monde pouvait participer, toujours dans la bienveillance. » Dans une période où régnait l’incertitude, la communication avait aussi un rôle important à jouer comme elle le rappelle : « Notre directeur général prenait souvent la parole pour nous dire ce qui allait se passer et pour nous rassurer. » Jean-Baptiste mentionne également le programme « Le bon café confiné » : « Nous avons continué à embaucher, donc pour aider les nouvelles recrues, nous pouvions prendre un café à distance et discuter avec elles. »
Des évolutions appréciées
Même si elle admet avoir peu de recul, avec une seule année d’ancienneté, Laurence a tout de même remarqué « la capacité du groupe à s’adapter, avec un état d’esprit et de bonnes valeurs ». L’un des changements les plus importants ces derniers temps concerne le télétravail. Une véritable découverte pour Armelle : « le temps gagné sur les transports est très conséquent, et le confort de travail s’en ressent. » La mise en place du télétravail a été accompagnée d’une hausse des réunions « All Hands », durant lesquelles le directeur général du boncoin, Antoine Jouteau, répond à toutes les questions des collaborateurs. Un moment privilégié de coordination et de partage.
Quant à Jean-Baptiste, il se souvient : « Quand je suis arrivé, nous étions 800. Depuis, nous avons 500 nouveaux collègues, 8 000 m² de bureaux supplémentaires, 50 nouvelles équipes, 300 nouveaux projets, et tout ça avec une même cohésion et une bienveillance qui continue de résister malgré le développement du groupe. » Fondement de la culture du boncoin, la proximité est une valeur que nous veillons à préserver : disponibilité et accessibilité priment !
Au final, quand nous leur demandons de décrire l’ambiance au boncoin en trois mots, Laurence cite « simplicité, confiance et autonomie », tandis qu’Armelle déclare « conviviale, bienveillante, accueillante ». Mais les mots les plus surprenants viennent de Jean-Baptiste : « Petit Saint-Martin ». Rebaptisé en interne « Le PSM », ce restaurant est devenu un lieu très prisé par nos collaborateurs qui s’y retrouvent régulièrement pour échanger autour d’un verre.